L’inquiétude est bien présente au sein de la mafia taurine, qui réclame subventions sur subventions. Voici quelques extrait d’un nouvel article de Burladero.
« L’unique, historique corrida de Las Virtudes de Santa Cruz de Mudela a eu lieu il y a quelques jours. Une corrida goyesque avec Antonio Ferrera et Raquel Martín sur l’affiche, et les spectateurs pouvaient se compter avec leurs yeux. »
« À Santander, une feria au succès grandissant au box-office, les étals n’ont pas été remplis, même un après-midi. Morante, Juli, Luque, Manzanares, Talavante… n’ont même pas attiré la moitié d’une arène à El Puerto. Ce n’était pas mieux à Azpeitia. Ni La Línea avec Miuras, ni Roquetas avec les plus grandes figures à pied et à cheval, ni Fuengirola pour son anniversaire, ni Huelva avec Roca Rey et Manzanares n’ont suscité suffisamment d’intérêt« .
« Pour que la fonction soit rentable, il faut renégocier à la baisse avec tous les acteurs. Mais ce n’est pas la solution pour survivre. »
Fléau ou désintérêt, l’important reste la baisse de popularité de la tauromachie espagnole.
Cazarrata