Pendant la crise sanitaire, le massacre de veaux par des mineurs vient de reprendre près de Nîmes, à Garons. Il y a eu trois mises à mort après d’interminables souffrances.
C’est l’école de torture taurine de Nîmes, nommée pompeusement le Centre français de tauromachie, qui nous l’apprend avec fierté sur son site, en titrant l’événement « La liberté bientôt retrouvée« . Liberté de supplicier et de tuer des herbivores…
Le déroulement du rituel morbide a eu lieu le 23 mai dans l’arène de Garons avec quinze très jeunes adolescents et leurs parents. Une fois les agonies et mises à mort exécutés, « la journée s’est poursuivie avec un pique-nique convivial » pour conclure cette pratique macabre.