« Il cafouilla la mise à mort »

Décidément, nous n’avons pas les mêmes valeurs… A propos de l’article de La Provence sur la classe pratique des trois écoles taurines – Arles, Nîmes Béziers – de dimanche 14 novembre.

Déjà, nous constatons que sur les 7 taurillons, 6 étaient des becerros – entre 18 et 24 mois- et 4 de ces taurillons auront été torturés et mis à mort .

On peut dire massacrés, car selon les expressions du chroniqueur taurin, les mises à mort ont été difficiles et ressemblent certainement plus à un massacre qu’à une mise à mort.

« L’épée n’était pas au rendez-vous des deux Arlésiens » … »L’épée lui fera défaut« … »Il cafouilla la mise à mort« …

Ces bébés, comme on peut le voir sur la photo ne sont que du matériel aux mains des apprentis ; et ils trouvent cela normal !