Une nouvelle école de torture bovine a fermé ses portes en Espagne, celle de Jerez. Elle existait depuis plusieurs dizaines d’années. Seulement, voilà : la municipalité, contrôlée par Podemos et ses alliés, a décidé de ne plus lui verser de subventions.
Un média taurin local se lamente de sa disparition en disant ne pas comprendre. Il s’agissait, selon lui, d’une « toute petite subvention ». Pas si petite, 80 000 euros par an tout de même. Sa suppression a entraîné la fermeture de l’école qui, comme la plupart des autres pratiques torturomachiques, n’avait aucune viabilité économique sans avoir recours à des aides financières massives, voire des fraudes en tous genres.
Le journaliste fait mine de s’étonner que d’autres activités sont toujours subventionnées à Jerez – club de philatélistes, associations de dominos, équipe de foot, journée de soutien aux natifs de l’île Samoa qui vivent à Jerez, etc. Le fait que ces autres activités ne causent aucune torture à personne semble totalement lui échapper.
Il poursuit son article sur des sujets totalement annexes et sans rapport avec la décision de la municipalité, dans un délire paranoïaque comme il y en a entre piliers de bistrots sérieusement éméchés, sur le mode « tout fout l’camp ». Il ne comprend pas qu’il fait partie d’un passé obscurantiste et cruel, qui s’effiloche de plus en plus vite avant d’enfin disparaître.
RL