Nîmes : l’envie de faire torturer des veaux par des ados ne peut pas attendre plus longtemps

‌Partout en France, en Espagne et dans tous les autres pays tauromachiques, les corridas ont été interdites en raison de l’épidémie de Covid-19. Mais à Nîmes, cela démange très fort les torturomanes de renouer avec leur passion de torturer et massacrer : dès le déconfinement, l’école taurine de tauromachie espagnole appelée pompeusement « centre français de tauromachie » rouvrira ses portes et reprendra ses « cours » à partir du 16 mai.

Pour être compatibles avec les restrictions sanitaires qui seront en vigueur, les encadrants de cette école de torture respecteront le quota de rassemblement de 10 personnes en organisant deux groupes.

Et ils prévoient joyeusement d’emblée deux novilladas, sans spectateurs (ils ne peuvent plus se retenir), en précisant que c’est dans le cadre de « l’entraînement avec bétail« , bien sûr : la première, avec trois novillos (taurillons âgés de 2 à 3 ans) qui seront torturés et mis à mort le 23 mai dans un lieu « révélé au dernier moment« . La seconde avec trois autres novillos qui connaîtront le même sort à une date non encore connue en juin.

Vite, ça presse, il leur faut de la souffrance, du sang et de la mort, ça ne peut plus attendre !

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