Corrida, l’art de la perversité

Corrida, l’art du mensonge, de la fourberie, pour le pire, c’est de la perversité.

La corrida n’est pas de la Culture car elle a été retirée de la liste du Patrimoine Culturel Immatériel, PCI. Faire passer la torture à mort d’un animal pour de la Culture, trahit une volonté de soumettre par sidération, par viol émotionnel de la conscience, qui annihile l’esprit critique. Les femmes et les enfants violés en savent quelque chose. Il y a fourberie perverse.

Le mot corrida signifie courir, et non pas torturer. Il y a tromperie sur le sens des mots.

Cette pratique indigne emprunte une langue qui n’est pas le français, mais l’espagnol. Cette pratique n’est pas de France, mais d’Espagne. Donc l’article possessif « notre » est un mensonge.

Une tradition étant censée transmettre le meilleur et non le pire. Employer ce terme pour désigner cette pratique barbare, sadique et perverse montre que la société a perdu le sens des valeurs, refuse de l’admettre et d’évoluer.

Daniel Lambeaux